Il est inutile d'imposer des limites au désordre
Une performance conçue par Vincent Coppey
Dans la cage d'escalier, autour des poèmes de Pier Paolo Pasolini
Once poèmes de Pasolini sur l'ambivalente condition d'un homme parmi les hommes
avec
soleil brûlant, brins d'herbe, terre nue
et enfin
métropole décolorée
Dits par Vincent Coppey
Sous l'oeil faussement distrait de Jean-Charles Fontana
Collaboratrice: Anne-Maude Meyer
Son: Sarten
Lumières: Nieth
28, 29, 30 juin 2006